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RETOUR DES PARTICIPANTS

Le programme était très complet est plutôt sympa; cela couvrait tous les sujets après, c’est sûr que tous les sujets ne peuvent pas intéresser tout le monde.

J’ai plus accroché sur tout ce qui était tourisme le réchauffement climatique, les vieilles vignes,  les recherches scientifiques sur la plante etc. etc.

 

Ce qui était vraiment sympa aussi c’est d’avoir eu l’occasion d’être avec des gens du monde entier et d’échanger avec eux autour du Chenin, et de leurs activités dans le monde du vin mais les excursions dans les vignes était vraiment sympa.

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Fabien LAINE

  • Cocktail dinatoire musées des Beaux-Arts

Un bon moment de convivialité dans un lieu exceptionnel. Je trouve tout à fait pertinent et de bon augure d’associer la ville d’Angers au CBIC. C’est une ville où il fait bon vivre, et qui a de nombreuses choses à offrir tant sur le plan culturel que gastronomique.... 

 

  • Conférences du mardi 2 juillet 2019

Le centre de congrès est un lieu idéal pour accueillir les conférences, car il se situe en plein centre-ville. Climatisation et traduction des conférences nous ont mis dans des conditions favorables pour une écoute attentive.

Concernant les intervenants, je salue la qualité des contenus présentés, malheureusement, le programme était peut -être un peu trop dense. Les experts ont parfois manqué de temps pour aller au fond de leurs explications. De fait, le temps imparti pour les questions était bien trop court ! Il aurait été idéal d’avoir les adresses mail de chaque intervenant en dessous des résumés de leurs interventions pour pouvoir approfondir avec eux certains sujets.

Je n’ai pas bien vu le lien entre certaines présentations et le chenin (ex : DO Mentrida en Espagne, adaptation viticulture dans la région méditerranéenne). Malgré des propos intéressants, compte tenu du timing serré, peut-être que ces interventions pourraient être supprimées afin de se concentrer sur celles qui présentent des analyses / essais menés sur le chenin uniquement.

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  • Perspective pour le Chenin Blanc

 Alors que les tendances de consommation de vin blanc sont à la hausse, le chenin a clairement une carte à jouer. À l’étranger, c’est encore plus le cas. Donc pour que le chenin poursuive sa voie sans faux pas, il me semble qu’il faut beaucoup de transparence sur le type de vin produit à partir de ce cépage (quitte à indiquer les sucres résiduels ?)

Les efforts menés par Interloire, et à plus petite échelle par les syndicats, offrent sans aucun doute de la visibilité aux vins ligériens. Couplés à une offre œnotouristique variée, ces éléments devraient jouer en faveur de la renommée du Chenin.

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Justine GRAVE ( Réussir Vignes)

Sur le plan de l'organisation et de la logistique à proprement parler, j'ai remarqué quelques petits défauts voire fausses notes (les petits verres lors de la soirée de gala par exemple) mais c'est aussi le lot de tout nouvel évènement et, dans l'ensemble, je crois que tout le monde aura gardé une image très positive de ce premier congrès.

Sur le fond, j'ai trouvé les deux journées auxquelles j'ai participé (mardi et mercredi) très riches et instructives mais aussi parfois... frustrantes. Le contenu était tellement riche durant une même session que certains sujets n'ont pas pu être approfondis. Le timing serré pour autant d'intervenants de qualité a donné un rythme très rapide à la projection de certains slides donnant parfois l'impression de vite passer au sujet suivant. Mais cela prouve aussi qu'il y avait de la matière et que ce congrès a donc trouvé sa place

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Christophe ANDRIEU (Cavistes et Sommeliers)

The Board Members of the Chenin Blanc Association of South Africa after discussing the Congress

Sur le congrès, tous les efforts ont été faits pour réaliser ce dernier dans les règles de l'art.

Les conférences intéressantes étaient nombreuses, presque trop nombreuses. 

C'est difficile de parcourir l'ensemble de ce contenu mais les informations nombreuses vont permettre de picorer plusieurs thématiques. 

 

Peut-être, cibler seulement les conférences qui parlent du chenin et laisser plus de temps à des master class permettrait de vraiment rencontrer les sud-africains dans leur spécificité. Cela permettrait de convoquer des expériences didactiques, de contenus et de connaissances gustatives sur les vins. Faire la découverte de 300 vins en 3 jours c'est beaucoup mais vivre une expérience gustative marque les esprits. 

 

J'ai été séduite par les escapades au vignoble qui ont demandé certainement beaucoup de préparation, il manquait juste un peu d'eau le premier jour…(Savennières)

 

A mon humble avis, le cépage a du potentiel et cela n'est plus à prouver. La venue des opérateurs de l'Afrique du Sud marque leur volonté de participer aux évolutions futures et leur envie de partager leur expérience. Leur vision du marché est venue rappeler combien ce dernier est mondialisé et combien le chenin a encore du chemin à parcourir pour devenir un cépage encore plus international, universel ? mondial ? 

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Christelle ZAMORA (RVI - Bon Bec Bohème)

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